Ancien Professeur chargé de cours de l’Ecole des Mines et des Techniques Industrielles d’Ales (France), mais également chercheur au Groupe d’Etudes des Sémiconducteurs de l’Université des Sciences et Techniques du Languedoc à Montpellier (France) où il travaille sur la spectroscopie des semiconducteurs II-VI à grand gap fabriqués par épitaxie à base d’organo-métalliques en phase vapeur, le Dr Brice Edgard PONGA, titulaire d’un Doctorat en Physique du solide dans la spécialité milieux denses et matériaux, est également titulaire de deux Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA 3ème cycle) l’un en Microélectronique et ionique du solide de l’Université Montpellier II, et l’autre en Histoire militaire, d’études et de stratégie de défense de l’Université Paul Valery Montpellier III.
Entré au Gabon, il poursuivra sa carrière comme Ingénieur d’Etudes à l’Office des Postes et des Télécommunications de la République Gabonaise au début des année 1990. Pendant sa longue carrière au sein de cette entreprise parapublique, il aura été tour à tour, Directeur Adjoint et Chef du Centre de Maintenance des Télécommunications par Satellites, Conseiller du Directeur Général chargé de la Restructuration et de la Privatisation des Télécommunications et Directeur à la Division de l’ingénierie des Télécommunications.
A l’issue de la restructuration de l’Office des Poste et Télécommunications de la République Gabonaise, il accède à la fonction d’Adjoint au Directeur Général et Chef du Département des opérations de la nouvelle société GABON TELECOM au début des années 2000.
Il aura dans ce cadre dirigé et développé le core business de cette entreprise et assuré la coordination des activités techniques, du marketing, de la commercialisation des produits et services et leur facturation ; le management, la coordination et la conduite de l’ensemble des projets structurant des activités de veille concurrentielle soumis à la concurrence ; de l’analyse des indicateurs décisionnels pour assurer la performance des entités opérationnelles de l’entreprise et la qualité de service des réseaux.
C’est pendant cette période qu’il assure également la Vice-Présidence du Comité Consultatif (Conseil d’Administration) de l’Organisation Internationale des Télécommunications par Satellites à Washington aux USA.
A la privatisation de GABON TELECOM et sa filiale mobile LIBERTIS en 2007 et après son acquisition par le Groupe MAROC TELECOM, il devient Membre du Directoire, Adjoint au Directeur Général et Directeur du Pôle Réseaux jusqu’à son départ en 2013.
Ancien Conseiller du Président du Conseil de Régulations des Communications Electroniques et des Postes, il devient membre du Conseil de régulation et Secrétaire Permanent de cette structure.
Dans l’intervalle, il a créé sa propre entreprise de Consultant dans l’ingénierie, l’audit et l’évaluation des réseaux et système d’information, mais aussi du Management de Transition ; de Direction générale et de Direction opérationnelle des opérateurs de télécommunications, au fin d’assurer la Top consultance.
Aujourd’hui il est le Directeur Général du Groupe d’Internet Public « Poste-Télédiffusion-Services Universels), opérateur global de l’Internet, du fixe et du mobile, de la Télévision numérique de terre, il en charge pour le Gabon d’être l’unique opérateur national de services universels.
C’est donc près de trente ans d’expérience dans le domaine des réseaux et des télécommunications, de l’environnement et des systèmes d’information, et plus spécifiquement de l’ingénierie, de l’intégration, de l’exploitation, et de la maintenance des transmissions numériques, des systèmes et réseaux de commutation de voix et de données, des réseaux d’accès, du GSM, de la réglementation et de la régulation du secteur et des politiques des télécommunications, de la stratégie et du développement des technologies nouvelles, de la conduite et du management de projets complexes qu’il aura déployé tout au long de sa carrière.
Après avoir contribuer à mettre en œuvre la connexion du premier backbone Internet au début des années 90, il aura œuvré comme consultant du PNUD pour l’étude de faisabilité et d’intégration d’Internet sur l’ensemble du territoire du Gabon. C’est d’ailleurs à cette fin qu’il présentera en 2009 les bases d’une vision prospective et stratégique pour le développement des technologies nouvelles dans ce pays d’Afrique centrale ; puissant levier de l’économie du quaternaire et de l’usage futur des objets connectés.
Pour lui, le développement des infrastructures numériques, des start-up, et des contenus locaux, ainsi que le renforcement et l’adaptation des formations dans le domaine des technologies assureront l’avènement annoncé de cette nouvelle économie, centrée pour l’essentiel, sur l’économie des services, qui du reste est à la base de la révolution numérique.
C’est dans cette nouvelle perspective, qu’il pense qu’elle facilitera la création d’un accès démocratisé et à moindre coût des réseaux et services, notamment le service universel avec des solutions de plus en plus intelligentes, mais surtout, une digitalisation des processus des entreprises et des services publics en co-construction avec les clients, les usagers du service publique, les chefs d’entreprises et les gouvernants.
Sa connaissance parfaite de la règlementation internationale, de la régulation du secteur et des politiques publiques en matière de télécommunications, sa maitrise parfaite des procédures du règlement des radiocommunications en rapport avec la coordination des segments spatiaux et des stations terriennes satellitaires, mais aussi, la gestion des droits d’utilisation des fréquences et des orbites des satellites, notamment les positions sur l’arc géostationnaire ; son expertise dans les technologies numériques par satellites lui permette de suivre aujourd’hui encore les activités de l’Organisation Internationale des Télécommunications par Satellites (ITSO) aux USA, comme ancien Président du Comité Consultatif.
Ce Physicien spécialiste de la matière condensée à la fin des années 1990 aura abouti par ses travaux théoriques, mais aussi, par l’expérimentation en spectroscopie des semiconducteurs à faire réaliser des diodes lasers bleues permettant plusieurs applications, et en particulier, des écrans plats à cristaux liquides, mais surtout, des faisceaux lasers de lecture des CD-ROM favorisant ainsi une plus grande capacité de stockage de données.
Pour mener à bien ses recherches et la structuration du contenu pédagogique de ses enseignements en sciences physiques pour ses étudiants, il se passionne pour les différentes écoles qui se sont succédé du point de vue de la conception des phénomènes de la nature, mais aussi, du point de vue de la méthode et de la logique propre à cette philosophie de la physique fondamentale qu’est l’épistémologie.
Aujourd’hui par son expertise il accompagne les institutions qui le sollicite dans la stratégie, le conseil, l’ingénierie, l’audit, l’évaluation et l’optimisation des Systèmes d’Information et des réseaux de télécommunications et suggère ainsi toutes les innovations technologiques à mettre en œuvre.
La période actuelle, foisonnante en innovations, marque une étape importante pour les deux révolutions quantiques dans le monde. Ce changement de paradigme nécessite d’investir dans les contenus pédagogiques à tous les échelons, du secondaire au supérieur, de la formation initiale à la reconversion, du grand public aux spécialistes.
En effet, il participe régulièrement par son expertise aux conférences sur « l’Avantage quantique » qui est une nouvelle façon de voir le monde, qui vise à informer le public et les décisionnaires sur les opportunités que vont pouvoir offrir les ordinateurs quantiques pour leur vitesse de traitement et leur grande capacité de stockage des données, mais aussi pour les nouveaux métiers du 21ème siècle ; réelles opportunités pour les jeunes.
Cet humaniste philanthrope, passionné d’art et d’épistémologie puise son équilibre et son harmonie dans son identité culturelle et les fondements des traditions profondes des clans et tribus du Sud-Est du Gabon.
Observateur de la société gabonaise, il pose par un Essai « Homo Gabonesis : A la recherche d’une identité perdue » à paraitre, un regard lucide sur ce qu’elle est aujourd’hui en proposant de s’interroger sur une problématique fondamentale et existentielle de l’identité réelle de l’homme gabonais. Cette réflexion sur une très probable identité du peuple gabonais qui semble à ce jour très difficile à cerner reposerait sur des raisons diverses, mais, de son point de vue pourrait être le nœud à dénouer pour assurer son épanouissement en rapport avec ses aspirations matériels, sociales, économiques, culturelles, intellectuelles, philosophiques, et spirituelles.